le nouveau mot a ne pas dire
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le nouveau mot a ne pas dire
En classe, nous avons apris un nouveau mot qu'il ne faut pas dire... C'est le mot "crotte"en language familier...c'est à dire "merde"... Oups je l'ai dit !!! Pardon. Mdr !
oscar- Messages : 52
Date d'inscription : 17/03/2010
Re: le nouveau mot a ne pas dire
ooooooooooosssssssssssssssscccccccccccccccccaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrrr
vic- Messages : 392
Date d'inscription : 03/09/2009
Age : 24
Re: le nouveau mot a ne pas dire
ces grasse a gonzague, et flo car il nous a expiqué quese que ca voulais dire il save de droles de choses
michou- Messages : 231
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 26
Re: le nouveau mot a ne pas dire
on le surnome le mot de "Cambronne"
flo- Messages : 336
Date d'inscription : 07/09/2009
Age : 24
Re: le nouveau mot a ne pas dire
a oui j' avai oublier
oscar- Messages : 52
Date d'inscription : 17/03/2010
Re: le nouveau mot a ne pas dire
c'est bizzare q'un mot comme sa lui est sorti vue que à cette époque il ne le connaissais pas encore
Gonzague- Messages : 122
Date d'inscription : 17/11/2009
Age : 25
Re: le nouveau mot a ne pas dire
c'est sur!!!!!!!!
vic- Messages : 392
Date d'inscription : 03/09/2009
Age : 24
Origine du mot de Cambronne!
Dans les archives ona retrouvé un témoignage authentique, rapporté par un témoin oculaire qui était juste à côté du général lors de l'enfoncement des derniers carrés de la garde impériale.
Ce témoin se nommait Antoine Deleau et était originaire du village de Vicq , canton de Condé, arrondissement de Valenciennes (Nord ). Il était cultivateur et fut maire de son village vers le milieu du XIX siècle.
Antoine Deleau fut au cours de sa carrière militaire témoin de faits historiques majeurs. Il ne comptait que quelques années de service en 1813 quand, à trente pas de Poniatowski, il entendit le maréchal et infortuné prince s'écrier en se jetant dans l'Ulster "Dieu ma confié l'honneur des Polonais et je ne le rendrai qu'à lui ".
A Fontainebleau en 1814, il était à cinq pas du général Petit lorsque l'empereur fit ses adieux à la garde avant de partir pour l'ile d'Elbe. Cela s'explique par le fait que la jeune garde dont il faisait partie, avait été utilisée pour combler les vides de la vieille garde, mise à rude épreuve au fil de l'épopée et des batailles de France.
A Waterloo il a 25 ans et il se trouve tout à côté de Cambronne quand celui-ci, prononce la phrase célèbre que certains aujourd'hui réfutent. Bien entendu je citerai mes sources en fin de récit, comme tout chercheur qui se respecte. Voilà donc le récit d'Antoine Deleau :
"J'étais au premier rang, avantage que je devais à ma grande taille. L'artillerie anglaise nous foudroyait et nous répondions à chaque décharge par une fusillade de moins en moins nourrie. Entre deux décharges le général Anglais nous cria en français
"Grenadiers rendez vous ! " Cambronne répliqua " la garde meurt mais ne se rend pas ! " Je l'ai parfaitement entendu, j'étais à deux mètres de lui.
Le général anglais commanda le feu. Nous reformâmes le carré ; "Grenadiers rendez vous ! Vous serez traités comme les plus beaux soldats du monde !" reprit la voix stricte du général Anglais. Cambronne répliqua à nouveau "La garde meurt mais ne se rend pas !" Tous ceux qui étaient proches de Cambronne dont moi, répétâmes cette phrase, reprise bientôt par tout le carré. Nous essuyâmes une nouvelle terrible décharge .Nous reformâmes encore le carré et nous ouvrîmes le feu à notre tour…
Cette fois ce furent tous les soldats anglais qui nous cernant de toutes parts nous implorèrent de nous rendre.. "Grenadiers rendez vous ! rendez vous !"
C'est alors que fou d'impatience et de colère, Cambronne lâcha le fameux "Merde !"
Ce fut le dernier mot que j'entendis car je reçus un boulet dans mon colback qui m'étendit sans connaissance sur un tas de cadavres."[/size]
Voici 2 images de Waterloo et Cambronne....
Voilà on a appris des faits historiques!!
Ce témoin se nommait Antoine Deleau et était originaire du village de Vicq , canton de Condé, arrondissement de Valenciennes (Nord ). Il était cultivateur et fut maire de son village vers le milieu du XIX siècle.
Antoine Deleau fut au cours de sa carrière militaire témoin de faits historiques majeurs. Il ne comptait que quelques années de service en 1813 quand, à trente pas de Poniatowski, il entendit le maréchal et infortuné prince s'écrier en se jetant dans l'Ulster "Dieu ma confié l'honneur des Polonais et je ne le rendrai qu'à lui ".
A Fontainebleau en 1814, il était à cinq pas du général Petit lorsque l'empereur fit ses adieux à la garde avant de partir pour l'ile d'Elbe. Cela s'explique par le fait que la jeune garde dont il faisait partie, avait été utilisée pour combler les vides de la vieille garde, mise à rude épreuve au fil de l'épopée et des batailles de France.
A Waterloo il a 25 ans et il se trouve tout à côté de Cambronne quand celui-ci, prononce la phrase célèbre que certains aujourd'hui réfutent. Bien entendu je citerai mes sources en fin de récit, comme tout chercheur qui se respecte. Voilà donc le récit d'Antoine Deleau :
"J'étais au premier rang, avantage que je devais à ma grande taille. L'artillerie anglaise nous foudroyait et nous répondions à chaque décharge par une fusillade de moins en moins nourrie. Entre deux décharges le général Anglais nous cria en français
"Grenadiers rendez vous ! " Cambronne répliqua " la garde meurt mais ne se rend pas ! " Je l'ai parfaitement entendu, j'étais à deux mètres de lui.
Le général anglais commanda le feu. Nous reformâmes le carré ; "Grenadiers rendez vous ! Vous serez traités comme les plus beaux soldats du monde !" reprit la voix stricte du général Anglais. Cambronne répliqua à nouveau "La garde meurt mais ne se rend pas !" Tous ceux qui étaient proches de Cambronne dont moi, répétâmes cette phrase, reprise bientôt par tout le carré. Nous essuyâmes une nouvelle terrible décharge .Nous reformâmes encore le carré et nous ouvrîmes le feu à notre tour…
Cette fois ce furent tous les soldats anglais qui nous cernant de toutes parts nous implorèrent de nous rendre.. "Grenadiers rendez vous ! rendez vous !"
C'est alors que fou d'impatience et de colère, Cambronne lâcha le fameux "Merde !"
Ce fut le dernier mot que j'entendis car je reçus un boulet dans mon colback qui m'étendit sans connaissance sur un tas de cadavres."[/size]
Voici 2 images de Waterloo et Cambronne....
Voilà on a appris des faits historiques!!
Re: le nouveau mot a ne pas dire
très bien et question c'est quoi le "colback
Gonzague- Messages : 122
Date d'inscription : 17/11/2009
Age : 25
Re: le nouveau mot a ne pas dire
très bien et question c'est quoi le "colback"
Gonzague- Messages : 122
Date d'inscription : 17/11/2009
Age : 25
Waterloo, Cambronne, colback ..........
Le colback c'est une ancienne coiffure militaire, bonnet de fourrure en forme de cône tronqué renversé et fermé par une poche conique en drap.......
Ils ont des noirs colbacks......
Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
D'un côté c'est l'Europe, et de l'autre la France !
Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance
Tu désertais, victoire, et le sort était las.
O, Waterloo ! je pleure, et je m'arrête, hélas !
Car ces derniers soldats de la dernière guerre
Furent grands; ils avaient vaincu toute la terre.
Chassés vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
Et leur âme chantait dans les clairons d'airain !
Le soir tombait; la lutte était ardente et noire.
Il avait l'offensive et presque la victoire;
Il tenait Wellington acculé sur un bois.
Sa lunette à la main, il observait parfois
Le centre du combat, point obscur où tressaille
La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.
Soudain, joyeux, il dit: Grouchy ! - C'était Blücher !
L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme.
La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.
La batterie anglaise écrasa nos carrés.
La plaine où frissonnaient les drapeaux déchirés,
Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,
Q'un gouffre flamboyant rouge comme une forge;
Gouffre où les régiments, comme des pans de murs,
Tombaient, ou se couchaient comme des épis mûrs,
Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,
Où l'on entrevoyait des blessures difformes!
Carnage affreux ! moment fatal ! L'homme inquiet
Sentit que la bataille entre ses mains pliait.
Derrière un mamelon, la garde était massée,
La garde, espoir suprême et suprême pensée !
-Allons, faites donner la garde, cria-t-il ! -
Et lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,
Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,
Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,
Portant le noir colback ou le casque poli,
Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,
Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,
Saluèrent leur Dieu debout dans la tempête,
Leur bouche, d'un seul cri, dit : "Vive l'Empereur ! "
Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,
Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,
La garde impériale entra dans la fournaise........
Voici la photo du colback
Victor Hugo
Ils ont des noirs colbacks......
Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
D'un côté c'est l'Europe, et de l'autre la France !
Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance
Tu désertais, victoire, et le sort était las.
O, Waterloo ! je pleure, et je m'arrête, hélas !
Car ces derniers soldats de la dernière guerre
Furent grands; ils avaient vaincu toute la terre.
Chassés vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
Et leur âme chantait dans les clairons d'airain !
Le soir tombait; la lutte était ardente et noire.
Il avait l'offensive et presque la victoire;
Il tenait Wellington acculé sur un bois.
Sa lunette à la main, il observait parfois
Le centre du combat, point obscur où tressaille
La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.
Soudain, joyeux, il dit: Grouchy ! - C'était Blücher !
L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme.
La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.
La batterie anglaise écrasa nos carrés.
La plaine où frissonnaient les drapeaux déchirés,
Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,
Q'un gouffre flamboyant rouge comme une forge;
Gouffre où les régiments, comme des pans de murs,
Tombaient, ou se couchaient comme des épis mûrs,
Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,
Où l'on entrevoyait des blessures difformes!
Carnage affreux ! moment fatal ! L'homme inquiet
Sentit que la bataille entre ses mains pliait.
Derrière un mamelon, la garde était massée,
La garde, espoir suprême et suprême pensée !
-Allons, faites donner la garde, cria-t-il ! -
Et lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,
Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,
Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,
Portant le noir colback ou le casque poli,
Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,
Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,
Saluèrent leur Dieu debout dans la tempête,
Leur bouche, d'un seul cri, dit : "Vive l'Empereur ! "
Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,
Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,
La garde impériale entra dans la fournaise........
Voici la photo du colback
Victor Hugo
Re: le nouveau mot a ne pas dire
;:elle est belle la poésis et triste
oscar- Messages : 52
Date d'inscription : 17/03/2010
on développe nos connaissances
Waterloo ou retraite de Russie
texte de Victor Hugo" la campagne de Russie"
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
On ne distinguait plus les ailes ni le centre.
Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
On voyait des clairons à leur poste gelés,
Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise
Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sous le ciel noir.
La solitude vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul.
Et chacun se sentant mourir, on était seul.
- Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?
Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.
On jetait les canons pour brûler les affûts.
Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,
Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.
On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,
Voir que des régiments s'étaient endormis là.
texte de Victor Hugo" la campagne de Russie"
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
On ne distinguait plus les ailes ni le centre.
Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
On voyait des clairons à leur poste gelés,
Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise
Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sous le ciel noir.
La solitude vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul.
Et chacun se sentant mourir, on était seul.
- Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?
Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.
On jetait les canons pour brûler les affûts.
Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,
Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.
On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,
Voir que des régiments s'étaient endormis là.
Re: le nouveau mot a ne pas dire
d'acord merci beaucoup et désolé j'ai fais un fausse manip pour mettre 2 fois c'est quoi un colbak
Gonzague- Messages : 122
Date d'inscription : 17/11/2009
Age : 25
Re: le nouveau mot a ne pas dire
des belle poesies
vic- Messages : 392
Date d'inscription : 03/09/2009
Age : 24
Re: le nouveau mot a ne pas dire
Oui et ça comme avec ce que l'on apprend...que l'on va être savant!!
Domitille- Messages : 113
Date d'inscription : 20/11/2009
Age : 24
Re: le nouveau mot a ne pas dire
on c super pas c sper
Domitille- Messages : 113
Date d'inscription : 20/11/2009
Age : 24
Re: le nouveau mot a ne pas dire
cetait racourci dododo
vic- Messages : 392
Date d'inscription : 03/09/2009
Age : 24
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